L’écriture offre également un modèle de permanence. Contrairement à une conversation oral, un mail pourrait être interprété, mûr, intégré à son loisir. Les clients peuvent corriger mes instructions, les mettre en pratique à leur manière, et particulièrement les adapter selon de leur évolution. Je leur propose la plupart du temps de tenir un journal où ils évaluent leurs perceptions, leurs affermissement, leurs doutes. L’écriture est un modèle de thérapie en soi, un moyen de mettre de l’ordre dans ses trouvailles, de éclaircir ses affects. À travers leurs ressentis, je vois aussi leur transformation, de temps à autre lente mais toujours perceptible. Ces échanges écrits deviennent dans ce cas un fil conducteur dans leur cheminement personnel. Au cours des années, j’ai appris à ne pas comprendre les affaires de mes patients. Certaines situations peuvent sembler irrationnelles, incompréhensibles de l’extérieur, mais chaque personne vit ses propres tests avec son histoire, ses croyances et ses phobies. Mon rôle est de les accompagner là où elles en sont, sans chercher à assujettir mes connaissances. Je m’adapte à leur rythme, à leur sensibilité et spécificité, tout en leur parvenant à des possibilités nouvelles. C’est une harmonie subtile entre écoute, guidance et respect de leur autonomie. En tant que diseur de bonne aventure, je ressens aussi une importante responsabilité. Les gens viennent me découvrir avec des attentes, parfois très importantes, et je dois veiller à ne pas alimenter des confusions ou des falsifié projets. la véracité n’est pas toujours facile à écouter, et il m’arrive de devoir informer des choses difficiles, tels que la délicat d’une relation ou l’impossibilité d’un projet cher à leur cœur. Cependant, même dans ces journées, j’essaie toujours de chercher une manière appréciable d'apporter le contexte, d'exhiber que chaque fin porte en elle les germes d’un nouveau arrivé. La résilience est une qualité que j’encourage fortement chez mes clients. Apprendre à sauter après un fiasco, à voir les éventualités là où il n’y avait que des obstacles, c’est là une des plus grandes atouts que l’on soit à même de dévoiler.
La dimension mentale de la voyance est constamment sous-estimée. Bien que mon rôle premier soit de capter les vibrations et de livrer des messages, il est impossible de séparer cet aspect de l’accompagnement émotionnel. Mes clients ne débarquent pas seulement pour obtenir des ressentis, mais aussi aux fins d'être entendus, pour partager une partie de leur marchandise avec une personne qui ne les jugera pas. Dans ce sens, la voyance se montre plus un modèle de thérapie japonaise, un lieu où les émotions voyance par mail sérieuse sont accueillies et transformées. Je remarque de plus que beaucoup client sont à la recherche de sens. la société contemporaine, avec ses vrais besoins et sa cadence indiscret, laisse peu de place à l’introspection. Les gens sont perdus dans des règlements par jour, dans un besoin réguliere de qualité, et sont à la fin par se éteindre de leur essence. Ils traversent un vide, une voyage de direction, et désirent travers la voyance une toiture pour se recentrer. Souvent, ils me demandent : « Quel est le but de ma vie ? », « Suis-je sur la meilleure orientation ? ». Ces questions traduisent un besoin sérieux de dénicher un alignement, de reconnecter avec quelque chose de plus grand, de plus spirituel. Dans ces cas-là, je leur suggère de se reconnecter à leur ressenti, à être en harmonie avec les signes que la vie leur dépêche. La divination est en capacité de les aider, mais la véritable transformation arrive d’eux-mêmes, de leur volonté à permettre de s'exprimer à leur propre discerné. En tant que cartomancien, mon rôle est de leur rappeler qu’ils ont en eux les moyens pour vivre les défis, qu’ils ne sont jamais sérieusement seuls sur leur chemin. Je leur rappelle l’importance de se recentrer, de se servir du temps pour eux, pour cogiter, pour se reconnecter à la nature, afin de déterminer du sens dans les petites choses du tout le temps. Les affaires client sont nombreuses, mais elles ont toujours un point commun : une recherche de musicothérapie. Derrière chaque demande se cache un projet d’apaiser une douleur, de conclure une circonstance qui les fait souffrir. Cette angoisse est de temps en temps liée à des relations pourtant à éviter, à des schémas répétitifs qui les empêchent de s’épanouir. En employés sur ces enjeux, je les nous amène à identifier les sources de leur dégradation de notre image, à prendre conscience des dynamiques qui se jouent dans leur vie. Cela demande du courage, car il n’est jamais facile d'apprécier devant moi ses propres blessures, mais c’est la plupart du temps le début du pas vers le rétablissement.